Après Giverny, back to Bach
Reflets du train
Trois suites à toute allure
Sans frein, jusqu'à la fin.
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D'ordinaire la beauté s'étale dans les magazines, sur les panneaux des villes ou bien encore dans les musées. Elle se compile en fragments et par de savants meccanos offre l'illusion de la perfection. Il existe aussi la beauté ordinaire des femmes sans fard, éclairées par une fenêtre ou une vie banale comme une tragédie. C'est cette beauté qui me touche aux larmes. Elle est mon axe. Sans elle j'en serais réduit à l'état d'invertébré.
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